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Lille veut prolonger Benjamin André, sollicité par le Paris FC
Lille veut prolonger Benjamin André, sollicité par le Paris FC

L'Équipe

time19 minutes ago

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Lille veut prolonger Benjamin André, sollicité par le Paris FC

Habité par une envie de départ au Paris FC, le milieu et capitaine de Lille s'est vu proposer dans le Nord un contrat courant jusqu'en 2028. Le LOSC ne veut pas perdre Benjamin André cet été et il le lui démontre : Olivier Létang, le président du club nordiste, a récemment soumis à son capitaine une prolongation de contrat de deux ans, ce qui lierait le milieu de terrain de 34 ans (il aura 35 le 3 août) jusqu'en juin 2028 s'il l'acceptait. Cette offre sera-t-elle de nature à convaincre André de rester à Lille ? Pour l'heure, il demeure toujours habité par l'envie de rejoindre le Paris FC, fraîchement promu en L1, qui lui a également soumis un contrat de trois ans à des conditions salariales équivalentes (autour de 225 000 € brut mensuels). L'ancien Rennais n'a pas participé au dernier match amical du LOSC (contre Amiens, 5-0, le 12 juillet) et il n'est pas évident qu'il joue, ce vendredi, à Côme. Mais la direction lilloise, consciente qu'un départ de son milieu serait dommageable en termes d'expérience, espère toujours trouver les arguments pour le retenir.

Macron soutient la candidature du pic du Midi au patrimoine mondial de l'Unesco
Macron soutient la candidature du pic du Midi au patrimoine mondial de l'Unesco

Le Parisien

time19 minutes ago

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Macron soutient la candidature du pic du Midi au patrimoine mondial de l'Unesco

Près de 150 ans après la création en 1878 de son fameux observatoire scientifique, le Pic du Midi sera-t-il inscrit au Patrimoine mondial de l'Unesco ? La réponse n'est pas encore connue, mais le site des Hautes-Pyrénées qui culmine à 2 877 m d'altitude bénéficie déjà d'un soutien de poids dans sa candidature : le président Emmanuel Macron . En visite dans le département ce jeudi, le chef de l'État a apporté son soutien à la candidature du monument appelant tous les acteurs à entrer « dans la mêlée » pour promouvoir le sommet. « C'est une immense opportunité pour le territoire », dans les Hautes-Pyrénées où il passait ses vacances dans son enfance et où il a encore des attaches. « C'est le mariage à la fois de la science, du pastoralisme », « de tous les élus du territoire et évidemment de tous les acteurs économiques », estime le président . « On a un soleil magnifique et c'est un moment formidable pour pouvoir au fond officialiser et consacrer le soutien de tous à cette candidature à l'Unesco », a-t-il déclaré en présence des principaux promoteurs du projet. Invitant l'ensemble des acteurs à entrer dans la mêlée. « L'inscription au Patrimoine Mondial garantirait l'avenir du site et permettrait de transmettre son exceptionnel patrimoine scientifique et culturel aux générations futures, assurant ainsi sa préservation et son rayonnement à l'international », précise de son côté le site Internet du pic du Midi . Le parcours pour candidater au patrimoine mondial de l'Unesco avait débuté le 10 mai 2021 quand le préfet des Hautes Pyrénées et le président de l'Université Toulouse III-Paul Sabatier avaient déposé un dossier demandant l'inscription sur la Liste indicative de la France. Une étape préalable à toute démarche auprès du Patrimoine mondial de l'Humanité. Un nouveau cap avait été franchi en 2022 avec cette inscription sur cette même liste. La candidature poursuit pour l'instant son parcours avec l'accompagnement du comité français du patrimoine mondial. La décision finale de l'Unesco devrait, elle, tomber dans le courant de l'année 2027.

Crash d'Air India : l'enquête se resserre autour du commandant de bord, soupçonné d'avoir coupé les moteurs volontairement
Crash d'Air India : l'enquête se resserre autour du commandant de bord, soupçonné d'avoir coupé les moteurs volontairement

Le Parisien

time19 minutes ago

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Crash d'Air India : l'enquête se resserre autour du commandant de bord, soupçonné d'avoir coupé les moteurs volontairement

Que s'est-il passé exactement à l'intérieur du cockpit du vol 171 d'Air India, le 12 juin dernier ? Selon un enregistrement du dialogue entre le pilote et son copilote, le premier a coupé volontairement l'alimentation en carburant des moteurs de l'avion , qui a entraîné la chute de l'appareil, révèle le Wall Street Journal , ce jeudi, citant des sources proches de l'enquête. Ce jour-là, le Boeing 787-8 Dreamliner d'Air India s'est écrasé quelques minutes après son décollage d'Ahmedabad, en Inde, tuant 260 personnes . Samedi, un rapport préliminaire du Bureau indien d'enquête sur les accidents aériens (AAIB) a révélé que les interrupteurs d'alimentation en carburant des deux moteurs se sont mis en position « arrêt » peu avant l'impact et peu après le décollage. Le rapport préliminaire cite notamment l'enregistreur de voix du cockpit dans lequel on entend un des pilotes demander à l'autre pourquoi il a coupé le carburant, avant que le second pilote ne réponde qu'il ne l'a pas fait. Néanmoins, les premiers éléments de l'enquête communiqués ne précisaient pas qui de Sumeet Sabharwal, le commandant de bord de 56 ans, ou de Clive Kunder, le copilote de 32 ans , avait éteint les interrupteurs d'alimentation. Selon de nouveaux éléments, cités par le Wall Street Journal, les enquêteurs sont parvenus à identifier les voix et à déterminer que c'est Clive Kunder qui demande à Sumeet Sabharwal pourquoi il a coupé les interrupteurs d'alimentation en carburant des deux moteurs . Selon l'enregistrement, Clive Kunder exprime d'abord « sa surprise », avant de « paniquer », tandis que Sumeet Sabharwa, lui, semble « garder son calme », précise nos confrères du Wall Street Journal. D'autant que, selon ce second rapport, Clive Kunder était aux commandes lors du décollage et avait donc « les mains pleines » à ce stade du vol. À l'inverse, Sumeet Sabharwal, qui « supervisait l'opération », était « plus susceptible d'avoir les mains libres » pendant le décollage. Si les premiers éléments de l'enquête ne permettent pas de tirer des conclusions sur les causes du crash du vol Air India, le rapport préliminaire indique que les investigations n'ont révélé aucun défaut mécanique ou de maintenance. Reste alors l'hypothèse d'une erreur humaine, qu'elle soit accidentelle ou non . Selon un article publié par The Sun , lundi, le commandant de bord, Sumeet Sabharwal, souffrait de dépression depuis le décès de sa mère il y a quelques années. « Il avait pris du recul par rapport à ses vols au cours des trois ou quatre dernières années », a confié au tabloïd un ancien pilote instructeur du Boeing 737. Le commandant de bord prévoyait notamment d'arrêter pour s'occuper de son père de 92 ans. « Juste un vol ou deux… Après, je m'occupe de papa », a expliqué l'une de ses proches au Times of India . Néanmoins, le PDG d'Air India, Campbell Wilson, a appelé à ne pas tirer de conclusions hâtives sur les causes du crash, affirmant que l'enquête était « loin d'être terminée ».

Cinq semaines de congés payés : les Français ont-ils davantage de vacances que leurs voisins européens ?
Cinq semaines de congés payés : les Français ont-ils davantage de vacances que leurs voisins européens ?

Le Parisien

time19 minutes ago

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Cinq semaines de congés payés : les Français ont-ils davantage de vacances que leurs voisins européens ?

Sommes-nous vraiment mieux lotis que nos voisins européens en termes de congés payés ? Dans les faits, l' Union Européenne impose aux 27 États membres une durée minimum de 4 semaines de congés payés par an. Mais chaque pays est ensuite libre de fixer une durée supérieure selon ses propres lois… ou pas. 16 pays parmi lesquels la Belgique, l'Italie, la Roumanie ou la Grèce, allouent seulement 4 semaines de congés payés par an à leurs salariés, le minimum selon la législation européenne. Avec ses 25 jours de congés payés par an, la France se situe à peine au-dessus de la moyenne européenne de 22 jours. À égalité, le Danemark , l'Autriche et la Suède obligent également les employeurs à offrir à leurs salariés au moins 25 jours de congés payés par an. Les champions d'Europe, avec au moins 30 jours de congés payés par an, sont Malte et l' Espagne , des pays qui accordent une place centrale au temps de repos dans leur mode de vie. Ils sont suivis de près par l'Estonie (28 jours) et le Luxembourg (26 jours). Mais dans chaque pays, le nombre réel de congés payés est souvent plus élevé que celui du minimum légal, grâce à la négociation. En 2015, les salariés avaient en moyenne 33 jours de congés par an, d'après une étude de la Dares . En 2010, ce nombre s'élevait à 37 jours, selon l'INSEE . En signant des accords par secteur ou via des conventions collectives , les salariés augmentent leur nombre minimal de congés payés. Ce décompte ne tient pas non plus compte des congés supplémentaires pour ancienneté ou circonstances familiales. Les jours fériés – dont le nombre varie selon les pays – ne sont pas ouvrés non plus. Il y en a 11 en France ( pour l'instant ), contre 14 en Espagne ou 9 en Allemagne. Si la France est aujourd'hui plus généreuse que d'autres en matière de congés payés, c'est en partie parce que ce droit est solidement ancré dans son histoire sociale. Institués par la loi du 20 juin 1936, au lendemain de l' arrivée au pouvoir du Front populaire , les congés payés ont marqué une avancée majeure pour les salariés, et en particulier les ouvriers du secteur privé, jusque-là exclus de ce type de repos rémunéré. Des centaines de milliers de Français découvrent alors pour la première fois les joies des vacances , notamment grâce au « billet populaire de congés annuel », qui offre des réductions sur les voyages en train. Même si les séjours sont encore courts et modestes, l'idée d'un droit au repos s'installe durablement. La ministre du Travail Astrid Panosyan-Bouvet a annoncé mardi que « la possibilité de monétiser la cinquième semaine de congés payés » ferait partie des pistes qui allaient être mises sur la table. Marylise Léon, la secrétaire générale de la CFDT, a réagi au micro de France Inter jeudi matin en qualifiant cette proposition d'« horreur ».

« Un mélange de talent et de chance » : quand Patrick, super-mécano belge, « sauve » Pogacar après sa chute
« Un mélange de talent et de chance » : quand Patrick, super-mécano belge, « sauve » Pogacar après sa chute

Le Parisien

time19 minutes ago

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« Un mélange de talent et de chance » : quand Patrick, super-mécano belge, « sauve » Pogacar après sa chute

Patrick Dils est à 100 m de Tadej Pogacar quand celui-ci chute à Toulouse, à 6 km de l'arrivée jeudi lors de la 11e étape du Tour de France . Ce technicien belge de 59 ans, au service de Shimano, entreprise japonaise spécialisée dans la fabrication de pièces pour cycles, se trouve à l'arrière d'une moto d'assistance. La Kawasaki, pilotée par son compatriote Raf Wouters, roule à 60 km/h. « Avant même d'avoir l'information par Radio Tour grâce aux oreillettes, je vois Pogacar faire le crash . Je dis au pilote : Stop ! Stop ! », raconte le Flamand domicilié près de Louvain, « ville connue pour sa bière Stella Artois ». Soudain, sous les yeux de centaines de millions de téléspectateurs, il déboule dans sa combinaison bleue assortie à son casque qui lui donne à la fois un air de Power Rangers et de Super Mario. « Pogacar essaie de remettre sa chaîne mais ça ne marche pas, il devait être choqué par sa chute », poursuit-il. En deux temps trois mouvements, le pro des pédaliers parvient à raccrocher les maillons sur le plateau. Personne n'aurait fait aussi vite, quelques secondes à peine ! « On est entraînés pour ça, c'est notre métier. Je savais que je devais rester calme même s'il y avait un peu d'adrénaline. Le self-control, c'est nécessaire. Si on devient nerveux, ça ne fonctionne pas », explique-t-il ce jeudi midi au stand Shimano du Village Départ à Auch (Gers). Le secret pour être plus rapide que l'éclair ? « Un mélange de talent et de chance. Si le cadre avait été cassé, là, c'était fini ! », dévoile Raf, 51 ans, son complice au guidon de la moto. Une fois la bicyclette réparée, Patrick aide le Slovène à repartir, à lui redonner de l'élan. « Je pousse, je pousse et là il me dit : Thank You ! » A ses yeux, le triple vainqueur de la Grande Boucle n'a eu aucun traitement de faveur. « J'aurais aidé le dernier exactement de la même façon », assure-t-il. Reconnaissant, le champion ultra-favori de ce Tour a remercié sur X le duo ultra-efficace. « Merci les gars, j'étais un peu perdu et je ne savais plus remettre une chaîne », a-t-il écrit. Les deux anges gardiens des coureurs en galère n'en tirent aucune gloire. « Là, c'est réussi. Mais si ça n'avait pas été le cas… », avance Raf. « Aujourd'hui héros, demain zéros », se marre son compère. Ces hommes de l'ombre apprécient tout de même que leur rôle soit mis en lumière. « On fait plein de choses qu'on ne voit pas à la télévision », rappelle Patrick. La bécane transporte six roues – trois arrière et trois avant - mais aussi des bidons d'eau. « On en a distribué 22 lors de l'étape de mercredi », avance-t-il. Dans la course, trois voitures et deux motos d'assistance sous bannière neutre Shimano sont à l'affût pour filer un coup de main à tous les coureurs. Le bon samaritain d'outre-Quiévrain, en action aussi lors des Classiques ou les Championnats du monde, est « volontaire » et non rémunéré dans cette aventure. « Je fais ça pour le plaisir, c'est ma passion », s'enthousiasme celui qui, hors Tour de France, est technicien chez un fabricant de vélos électriques.

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